Impératrice figée.
L’allure haute, nue, écartelé de visions diverses, ligotée d’un supplice céleste, elle trahit un caprice de petite fille.
On perçoit de cette expression de vide, quelques traces de paradis artificiels, de rêves synthétiques.
Ses rêveries, j’en veux comme elle, j’aimerai lui avaler les yeux et de ce regard, je ferai surgir les lueurs, les oiseaux de feu, les crustacés d’argent, les dryades de foudre, les larmes des pierres, les rires des volcans, les perles de poussière et les chants de sirène dévoreuse d’infini.